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Le mot de Didier FONDEUR
mardi 9 juin 2015
Le premier Tome « Une fidélité habsbourgeoise » a comme source principale un livre familial édité par Johann Georg Fabricius en 1657 et complété par ses descendants
Dès ma plus tendre enfance, j’ai entendu parler de ce « livre familial », recouvert de velours qui se trouvait dans la bibliothèque de ma grand-mère maternelle Eliane de Posch. Très tôt j’ai su qu’il retraçait l’histoire de sa famille sur une longue période et relatait ses origines belges (au XIXème siècle), viennoises (au XVIIIème siècle), bavaroises (aux XVème et XVIIème siècles).
Ayant pu bénéficier des recherches faites par mes sœurs (plus particulièrement les travaux généalogiques de Sylvie Roche Fondeur) et par Matthieu de Posch, le titre retenu s’explique par les contributions de chacun. Il ne s’agit pas d’un monologue solitaire mais d’un polylogue non seulement entre frères, sœurs, cousins mais aussi intergénérationnel « Polylogue familial de Posch ».
Puissent les lecteurs y trouver un intérêt à apprendre dans quels contextes géographiques et historiques une souche allemande s’est mutée en une souche française pour finalement se diluer dans une mondialisation progressive. Mais aussi qu’ils éprouvent quelque plaisir à imaginer une saga parfois un peu sèche, à l’occasion romantique et le plus souvent d’une banalité qui frise l’originalité.
